Un beau matin ensoleillé[Terminé]

Il était environ 8 heures du matin. M.Trudeau avait tiré les rideaux de son bureau, quelques heures plus tôt, afin d'admirer le soleil levant. Une belle journée s'annonçait. Assis sur sa chaise, flattant Tristan sur ses genoux, il lisait le journal, buvant une tasse de café qu'il avait demandé qu'on lui apporte. Il savourait lentement chaque gorgée, profitant pleinement de son matin.
-Vois-tu, c'est ça qu'il nous faudrait...

dit-il à l'adresse de son chat.

-...un jardin d'eau. Là, à côté du manoir. C'est de la perte d'espace inutile. Mais un jardin d'eau...mmm...

continua-t-il en lisant l'article. Puis il tourna la page, changeant de sujet.

Amélia entra dans le bureau à peine réveillé , car elle avait reçu un mémo de la part du directeur comme quoi il voulait la voir. La jeune fille entra sans cogné dans le bureau et se planta debout au milieu de la pièce.

*Mais qu'est-ce que j'ai faite encore*

-Bon , la qu'est-ce que t'as à me reprocher , mon vieux?

Consiante qu'elle en aurait pour lontemps encore une fois , la jeune fille alla s'assoir sur une des chaises inconfortable en avant du bureau du Directeur.

Lorsque la porte s'ouvrit, Ionel laissa entrevoir un sourire à l'approche d'une de ses visiteuses quotidiennes. Il abaissa son journal, le déposa sur son bureau et se leva fermer les rideaux, comme à son habitude.

-Mlle Fantine! Je vous attendais....dit-il en consultant l'horloge grand-père dans le coin opposé de la pièce. Mmm, il était tôt par contre...il prit une gorgée de café sans quitter des yeux le cadran de l'hologe.

-Bon , la qu'est-ce que t'as à me reprocher , mon vieux?

Le cas Fantine était particulier. Non seulement se bornait-il à ne pas suivre aucune règle, mais aussi avait-il l'habitude de le tutoyer et lui parler d'un language familier. Tout ça dans le but de contredire l'autorité qu'il avait sur le Manoir et ses pensionnaires.
Il porta son regard noir et froid sur elle. D'un air sérieux, il ne fit pas de remarque à la manière dont elle lui parlait et alla directement au but.
-Le couvre-feu, Mlle Fantine, pour TOUS les pensionnaires est à 11h30.Il prit une pause pour boire son café.-Cependant, continua-t-il, on vous a aperçue hier soir vous promenant dans les couloirs...dites-moi, est-ce que c'est réellement pas rebellisme ou tout simplement parce que vous vous plaisez à venir ici toutes les semaines...Il laissa ainsi un silence auquel Amélia devait placer mot. Un silence lourd.
Tristan, quant à lui, n'était plus qu'un point noir parmi la pénombre de la pièce. Il poussa soudainement un miaulement. Horrible. Il faussait dans son miaulement. À ça, M. Trudeau lança quelque chose d'imperçeptible dans la pièce que le chat s'empressa de dévorer...

La jeune fille roula les yeux au ciel et et secoua la tête en signe de négation. Toujours assise en face du Directeur elle repoussa un mèche de cheveux rebelle , croisa la bras et fixa et regard froid et méprisable dans les yeux du directeur.

*Mais , il pense tu que j'ai peur de lui ou merde??*

-Sa , ces pas de tes affairs Grand-père ,compris?? Ce que je fais ça regard que ma personne et vous n'avez rien à redire la dessu! En plus on vit dans un pays libre alors la ferme!!

Toujours assise sur sa chaise elle senti que Ionel fesait des pieds et des mains pour gader son calme! Le jeune fille regarda l'horloge grand-père et compris qu'elle en aurait pour très lontemps comme toujous. Elle fit une grimace à Ionel, puis elle reficha son regard dans le sien. Le silence était maintenant tombé dans la pièce, on attendait plus rien, la balle était dans le qand du directeur!

-Sa , ces pas de tes affairs Grand-père ,compris?? Ce que je fais ça regard que ma personne et vous n'avez rien à redire la dessu! En plus on vit dans un pays libre alors la ferme!!
Ionel roula les yeux et fit un profond soupir. Il avait prédit cette réponse avant même que la fille entre dans son bureau. La même qu'elle lui fait toujours. Pour un cas, c'était un cas. Avec elle, il ne fallait rien essayer. Juste attendre. Il prit la dernière gorgée de son café et déposa la tasse à côté de lui.

-Oui, bon...si vous voulez...quelque chose à ajouter?

Peut-être n'arrivera-t-il jamais à tirer aucune soumission de cette orpheline. Mais bon, qu'y pouvait-il?!

La jeune fille fit un sourire victorieux , puis elle leva la tête et fixa le plafond maintenant plonger dans ses pensé.

*Il abandonne déja , mais il est pas très résistant ce mation le vieux, c'est vrai qu'il doit commencer à comprendre que quand il me puni je ne fais même pas la corvée de plus qu'il me donne. De tout façon je gagne toujours alors...*

-Non, j'ai rien à te dire , je me soumetterai pas à l'exemple de l'orpheline modèle.

La pièce fut plongé dans un long silance , assi dans son bureau le directeur réfléchissait , il avait même un sourire sur les lèvres , qu'est qu'il avait encore...

Le sourire victorieux qui se dessinait sur les lèvres d'Amélia laissèrent le directeur indifférent.
-Cela m'étonne que tu dises ça, Amélie. dit-il en se mettant soudainement à la tutoyer. Parce qu'en fait, tu es une orpheline modèle. Beaucoup aimeraient être comme toi. Tu es un exemple pour tes proches.

Le tout sans même une seule pointe d'ironie. Lui-même avait l'air de croire ce qu'il venait de dire.

Un autre technique venant de la part du directeur, la jeune fille les connaissait toutes , elle était dans le bureau de se vieux singe au moin un fois par jours sinon plus alors elle ne l'écoutait même plus et lui il lui fesait tout les coups facile de la phsycologie , avec les rebelles. Toujours assise sur cette chaise inconfortable , elle lui lança un regard espiègle.

- Si ils prennent tous exemple sur moi , vous pourrez plus rien controlé! rétorqua la jeune fille.

-Et puis , laché moi cette phsycologie , parce que je ne me fais jamais prendre vieux singe!

Vieux singe , le surnom qu'elle donnait au directeur , depuis la toute première journée au manoir , la jeune fille se demandait encore comment ce fesait il qu'elle était encore au manoir!

"Si ils prennent tous exemple sur moi , vous pourrez plus rien controler!"
Ionel souria.-Et pourquoi ça? Je n'ai rien à contrôler puisque de toute façon la seule personne ici à suivre les règles, c'est Tristan...
il flatta le gros chat qui était venu se placer sur le bureau.

"Et puis , lachez moi cette phsycologie , parce que je ne me fais jamais prendre vieux singe!"

-Je n'use d'aucune psychologie avec vous ma chère...si vous voulez voir de la psychologie, allez parler à mes anciens patients....voulez-vous un sablé?il sortit une boite de petits biscuits sablés et les lui tendit.

Amélia , regarda l'horloge grand-père , puis elle soupira, c'est visite habituelle dans le bureau du vieux signe était de plus en plus longue. Mais , elle s'en fichait , il ne fesait jamais rien , au début il avait essayer de lui faire peur , il avait bien vit vu que sa ne valais pas la peine. Elle tourna la tête , vers la fenètre et regarda à l'exterrieur ou le soleil brillait.

-Non , pas de sablé , j'ai pas encore manger mon déjeuné!

Le directeur , pris un sablé , puis il rangea la boite. La jeune fille retourna la tête vers lui , puis elle soupira à nouveau.

-C'est tout??

La jeune fille vit le directeur faire un sourire étrange , puis il hocha la tête en signe de négation!

*Ce n'est pas tout!*

Ionel adorait les sablés. Cela ne l'étonna guère qu'Amélia n'en veuille pas donc rangea-t-il la boîte. Puis il suivait du regard où les yeux de la fille regardaient. La fenêtre. L'horloge. Oui, lui aussi aurait bien aimé aller faire autre chose à cette heure...mais quand on est obligé...

À sa question, il hocha négativement la tête. Derrière un sourire, il cachait ses pensées. Ses pensées tournaient autour du fait qu'à chaque rencontre avec l'orpheline, c'était toujours long et on n'arrivait jamais à rien en tirer. Plate, plate, plate. *J'aurais presque envie de l'envoyer chez Mondarin pour m'en débarrasser*...pensa-t-il.

-C'est beau, n'est-ce pas, se promener au clair de lune, le soir. La nuit...Un magnifique spectacle, non? Je ne te blâme pas d'avoir restreint une toute petite règle pour voir ce tableau...magnifique...
dit-il, songeur.


[little P.s.: la fenêtre est obstruée par un rideau et...arrête de me faire faire des sourires narquois!! ]

[Hj: Dans ton premier post , tu ouvres les rideaux ]

La jeune fille leva le yeux au ciel , elle avai juste hate de partir d'ici pour faire d'autre mauvais coup alors. Elle haussa les épaules et lança un regard indifférent au directeur.

-Vous savez plus quoi faire du moi avouez le dont , quand vous me punissez sa fait rien et j'ai pas peur de vous alors... vous me faite vernir ici pour rien. Alors , je peux partir , et on se revéra surement, à la fin de la journée avec une longue liste de plainte à mon sujets!

[Hj: mais quand tu arrives, j'ai dit que je les fermais...euhm...tant pis; ça reste des rideaux!!]
Ionel écouta les propos d'Amélia. En effet il ne savait plus quoi en faire, ce cette rebelle....Ça n'écoute rien et ne veut rien faire.

-Mademoiselle Fantine. À chaque jour de chaque semaine, vous vous arrangez pour effreindre au moins une règle d'Elpha. Et à chaque jour de chaque semaine, vous vous arrangez aussi pour qu'un gardien vous voit. Je ne veux pas vous dire quoi faire, mais si vous détestez tant ma présence, j'ai un conseil à vous faire: soyez discrète dans vos procédés. Non mais croyez-vous que ça m'amuse vraiment d'avoir à supporter votre tête chaque jour?!
Et j'ai seulement 39 ans, très chère. Un singe ne vit pas si vieux.lâcha-t-il d,un trait.
-Maintenant, si vous n'avez plus rien à dire...

La jeune fille , lui lança un regard de glace, elle se fichait bien de se faire prendre , elle se fichait bien de l'autorité alors... allez chez le directeur , elle trouvait sa marant , car elle savait qu'il ne savait plus quoi faire d'elle alors , elle ne savait même pas pourquoi il se donnait la peine de la faire venir à son bureau.

-Je vois clair dans votre jeux , vous essayez de faire peur à vos orphelins , pour vous défouller du fait que votre femme vous à laisser , c'est un cas classique. dit t'elle d'une vois ironique.

Se lève et se dirige vers la porte du bureau.

-Alors si t'as fini ton discours barbent , je vais m'en aller, aurevoir vieux singe!

Sort du bureau , comme si de rien n'était.