Visite Intime (Pv Gen?)

Hum..Il était tôt,très tôt.Alexandra avait désidé de rendre visite à Pégazus,le cheval de son père.Depuis la mort de ses parents,Alex' n'avait plus aucun amie,sauf l'ancienne monture olympique de son père.Pégazus avait été une grande star des concours hippique voila quelques années.Mais depuis que son cavalier,Ruben Protman était décédé,il n'avait été qu'un simple étalon de compagnie à Alexandra.Si la jeune femme ne l'avait pas amener avec elle au manoir,le pauvre cheval aurais fini à l'abattoire.La jeune adolescente entrat dans l'écurie et sifflat un air familier que son père utilisait pour appeller son cheval.Au fond de l'écurie,Alex' vie la bête grise sortire sa tête en hennissant doucement.Alexandra esquiat un rare sourire et s'approchas de la bête en lui flattant affectueusement le chanfrain.

"Salut beau gosse..Comment ça va aujourd'hui?"

L'étalon hennit doucement,en guise de réponse.Alexandra eu un légé rire et fouillas dans sa poche.Pégazus,en reconnaissant se geste si familier,redressat les oreilles et donna de léger coup de museaux à sa maîtresse.

"Doucement Pégazus ! Tu l'auras,ta carrote !"

La jeune adolescente sortie une carrote de sa poche et la tendit à l'animal qui la mangeas en deux temps trois mouvement.Alexandra prie le licol accrocher à un crochet,suspendue sur la porte du box de Pégazus et entrat dans le box sans aucune crainte.Elle passat le licol bleu sur la tête de l'animal et sortie l'étalon du box.Elle l'attachat sur les chaînes,dans l'allé.L'adolescente alla chercher son panier avec des brosses et tout se qui faut pour faire un brin de toillette à son "ami".

"Quand j'en aurais fini avec toi,toute les juments te courront après!"dit-elle moqueusement.

Alexandra commenças avec l'étrille,puis la brosse dur et enfin la brosse douce.Elle curras les sabots de Pégazus et démêlas sa crnière ainsi que sa queud.Le cheval restait toujours calme et patient quand Alexandra le brossait ainsi.Quand la jeune adolescente arrivas face à l'animal en le flatta doucement,Pégazus renniflat le pendantif au coup de la jeune femme.C'était celui de son père...L'animal hennit doucement,comme un sifflement plaintif.Alex' baissas doucement les yeux et prie son collier dans sa main,carressant de l'autre la fine tête de Pégazus.

"Je sais Pégazus..Moi aussi il me manque.."

Gen était assise dans un box vide de l'écurie du Manoir. Tout ce qu'elle désirait, c'était la paix. Elle voulait écrire dans le silence, sans crainte d'être dérangée à tout moment. D'abord, elle avait quitté sa chambre, car Rebaca, aussi sympathique soit elle, l'énervait parfois en lui demandant sans cesse ce qu'elle écrivait. La jeune fille n'était tout de même pas pour répondre à sa coloc' "Une lettre pour un ami qui s'est enfui du Manoir. Je suis sûre qu'il ne la lira jamais!" Reb aurait posé d'autres questions. C'était dans sa nature, d'être curieuse! Gen ne pouvait pas lui en vouloir. Cela l'avait bien aidée, par le passé. Elle avait trouvé en sa coloc' une confidente géniale et une formidable amie. Dès lors, elle lui confiait tous ses problèmes, ses petits soucis et recevait de précieux consiels. En retour, elle écoutait attentivement Reb quand elle avait besoin de parler à quelqu'un.

Malgré le fait que Reboutchou soit si gentille, Gen ne pouvait pas écrire dans la sérénité qu'elle voulait. Elle avait donc opté pour la cage. À peine était-elle descendue que l'adolescente avait surpris quelques orphelins tapis dans l'ombre. Frustrée de s'être fait voler son sanctuaire, Gen était remontée en vitesse et était sortie du Manoir. Aveugleé par le soleil, elle ne fit pas attention au sentier qu'elle empruntait. Celui-ci la mena à l'écurie.

* C'est parfait pour écrire en paix, il n'y à jamais personne là-bas et seulement deux ou trois chevaux. *

La fille aux cheveux nuits s'installa alors confortablement dans un box, sortit de la poche de son jeans un pouce-mine, une efface et une feuille de papier pliée en petits morceaux. Elle s'accouda au mur et commenca sa lettre. Après quelques minutes seulement, Gen avait une crampe au bras. En bougonnant, elle changea de position, mais ce n'était guère mieux. Elle s'assit en indien et posa sa feuille sur ses genoux. Puis, elle fut prise par une grande lassitude. L'adolescente traversait un bas de sa vie. Sans pouvoir dire comment ni pourquoi, elle se sentit de plus en plus dépressive. Comme si soudainement, la vie avait perdu toutes ses couleurs. Gen essaya de penser à Harris pour lui remonter le moral, mais le simple fait de ne pas le voir abaissa son moral encore plus. C'est alors que les larmes se mirent à monter. Pourquoi? Elle n'aurait sû le dire. Tout ce qu'elle savait, c'était qu'elle avait mal. Elle ne se sentait pas bien. Elle avait besoin d'oublier. Malgré elle, elle avait encore besoin de ça. Ça... ce petit quelque chose dans la poche arrière de son jean... Elle en trimballait toujours un avec elle. Mais si quelqu'un venait à le découvrir? Il le prendrait pour une cigarette. Ça se confondait plutôt facilement...

Ne voyant pas d'autres issus à cette soudaine déprims, Gen prit ce petit quelque chose. Dans l'autre poche arrière de son jean, elle prit un briquet. Elle l'alluma. Machinalement, elle porta ce joint à ses lèvres et prit une première bouffée.

Combien de temps resta-t-elle ainsi à fumer? Nul n'aurait sû le dire. Toutefois, Gen avait perdu sa lucidité. Elle avait même l'impression de rêver. Elle avait le sentiment qu'elle pouvait voler. En titubant, elle se releva et s'assit sur le bord du box. Les pieds suspendus en l'air, la jeune fille se mit à rire. Puis, elle se tut. Elle resta là, figée, un bon moment. C'est alors qu'elle entendit la voix d'une autre orpheline.

- Je sais Pégazus..Moi aussi il me manque..

- AAAH! cria Gen en tombant par-derrière.

Sous l,effet de la surprise, l'orpheline droguée avait sursauté et tombé sur le dos. C'est étendue sur le dos que l'autre la découvrit. Gen avait les yeux clos et elle riait toute seule. Plutôt étrange.

Geneviève se releva en titubant. Pour qui se prenait-elle, celle-là? Elle pensait pouvoir faire sa loi comme ça? Et bien, c'était mal connaitre Gen. Même si l'adolescente était plutôt pacifiste, lorsqu'elle était en colère, elle n'hésitait pas à se battre. Fâchée de s'être fait ainsi bousculée par une pauvre fille pa mieux qu'elle, Gen sentit la rage gronder en elle.

- Non mais pour qui tu te prends, à agir comme si t'étais la reine de l'Univers?! explosa-t-elle.

Pourquoi le monde l'empêchait-il de la laisser se débrouiller? N'était-elle pas assez grande pour savoir ce qu'elle devait faire?

- Pour ton information, au cas où personne ne t'aurais renseigner là-dessus, ce n'est pas une cigarette, mais un joint. Et puis, j'ai le droit de faire ce que je veux où je veux! Et c'est pas toi qui va m'interdire telle ou telle chose!

Geneviève était en furie. Plus elle parlait, moins elle savait ce qu'elle disait. Si ça continuait, ç'allait finir comme avec Harris dans la piscine. Les deux filles allaient s'entre-tuer. Mais ça continuait. Gen criait. Elle avait totalement perdu le contrôle d'elle-même. Et plus elle criait, plus elle gesticulait. Elle était comme ça. Dès qu'elle s'emportait, elle bougeait vraiment beaucoup! Mais pour la première fois, ses gestes engendrèrent une catastrophe.